Film Italo américain de 2018, de Stefano Sollima, avec Benicio Del Toro, Josh Brolin, Isabela Monner, Jefrey Donovan. Suite du film de Denis Villeneuve de 2015 dont on a conservé les personnages principaux, jouant sur un mode plus spectaculaire, considéré comme moins fin par la critique. Alejandro et Matt continuent de lutter contre les armées du crime, chacun avec ses raisons, quelquefois conjointes, quelquefois contradictoires. De toute manière ils sont, sans trop le savoir, les jouets de la CIA. Quoique ce second volet soit réussi et qu'on ne s'ennuie pas une seconde, on reste sur l'expectative en souhaitant que le troisième soit TRÈS réussi.

Film américain de 2018, de John Krazinski avec lui-même, Emily Blunt, Millicent Simmonds, Noah Jupe. Des créatures terrifiantes, attaquant  leurs proies en se guidant  au son émis, infestent la terre, éradiquent les humains. Restent peu de survivants. Une famille, dont la mère est enceinte, déploie des trésors d'imagination pour s'adapter, survivre. Inventif. Efficace. Impressionnant.

Film de 1967, Italien, de Giulio Petroni avec Lee Van Cleef, John Philip Law, Luigi Pistilli, Mario Brega, Anthony Dawson, Carlo Pisacane. Enfant, Bill Meceita assiste au meurtre et au viol de sa famille perpétrés par quatre inconnus. Quinze ans plus tard il part à leur recherche. Il croise Ryan, qui sort de prison et veut se venger des  complices qui l'y ont envoyé. Les deux hommes se rapprochent, contre toute attente. Naît entre eux une relation "D'homme à homme".  Valcogne aurait du voir ce film à sa sortie, en 67, mais le découvre, avec plaisir, aujourd'hui. Auprès de Lee Van Cleef, John Philip Law est lisse. L'affubler du gilet de peau de mouton de Clint Eastwood du" bon, la brute, le truand "ne le rend pas meilleur, mais passons. On retrouve Mario Brega et Luigi Pistilli, ça aide. La mise en scène est bonne, le film un peu long, mais de bonne qualité.