Une prestation chaleureuse soutenue par un public conquis, Dave Gahan remuant du croupion pour montrer comme il est bien foutu, Martin Gore déguisé en poulet censé représenter un ange. Malgré ces incongruités le talent est là et après une première partie avec des titres plus ou moins interessants on revient aux sources et des moments de grâce s'invitent que les fans ne devraient pas bouder. Nous parlerons une autre fois de "Songs of fate and devotion"...
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